Ah ce joli mois de mai ! Du 1er au 26, un mois de fêtes et de manifs
Une fête « pot-au-feu » …
« Il fait beau, il fait chaud, tout ça c’est grâce aux cheminots ! » (En musique)
Et vu en pancartes :
« Manif disruptive », annonce une pancarte. « Sœur Emmanuelle s’occupait des pauvres. Sire Emmanuel s’occupe des riches », dit une autre.
« Leader of the free markets, not of the French people » disait encore une autre.
Vous aviez dit « violence », Mesdames et Messieurs les médiacrates ?
Si les mots sont violents, comme voulaient nous le coller le pouvoir et les journalistes accrédités, que dire des mesures politiques du gouvernement Macron-Philippe, imposées par ordonnances !
Non, c’était tout simplement fêter un anniversaire : un an de pouvoir ravageur et destructeur des avancées sociales, la "fête à Micron" ou à "Jupiter".
D’un opéra à l’autre, des dizaines de milliers de citoyens en fête et en lutte.
Et la suite : le samedi 26 mai ?
Organiser partout en France, dans les rues de toutes les villes de la République, une marée populaire et citoyenne, à l’appel des syndicats, des associations et des partis politiques de gauche qui veulent s’y associer
À l’issue de la « Fête à Macron », un communiqué des organisateurs appelait à organiser un « 26 mai massif et populaire ». Tous ensemble.
Le samedi 26 mai, a-t-on en effet appris quelques heures avant le coup d’envoi de la « Fête à Macron », des manifestations devraient se tenir partout en France. À l’appel d’une kyrielle d’associations, des partis de toute la gauche, mais aussi, inédit pour une mobilisation de ce genre, de la CGT. L’implication de syndicats, même très opposés aux réformes du gouvernement, dans des manifestations au mot d’ordre explicitement politique n’était pas une évidence. D’autant que le 26 mai suivra de peu une grande manifestation pour la défense de la fonction publique, organisée le 22 mai à l'appel de tous les syndicats. Et qu'il n'est pas habituel pour les bataillons syndicaux de défiler le samedi. (Source : article de Mediapart)